Mercredi 24 Novembre 1981 Soir
Bien, je partais. Direction la maison. Je rentrais la voiture sous lauvent et réalisais que je devais avoir sur moi les odeurs de Véro. En prenant des fleurs dibiscus je les écrasais dans mes mains espérant ainsi atténuer ces odeurs, juste le temps de faire la bise à AL et aller prendre la douche. Le destin en avait décidé autrement. A peine entré, je vis quil y avait un problème. En effet, le mercredi après-midi AL le consacre à la correction des copies. Cest simple de voir lévolution, les tas à corriger à gauche, les tas corrigés à droite, et là le transfert était loin dêtre terminé,
et comme laccoutumée je lançais un bonsoir joyeux et arrivant derrière AL je lembrassais dans le cou et du coin de lil japerçus dans le décolleté légèrement ouvert un sein qui semblait en liberté,
là, sans problème, si AL ne portait pas de soutien gorge, il y avait certainement une invitation à quelques câlineries. Je glissais mes mains sous les bras de AL et prenais possession de ses seins, elle mit ses mais sur les miennes et accepta les caresses, ce qui était de bonne augure et là je dis la chose quil ne fallait pas dire : « Dis donc tu as pris du retard pour tes corrections,
comment ça se fait,
»
AL cafouillant un peu : « Heu,
bon,
enfin,
bon,
lundi quand Véro est partie,
elle ma dit,
tu viens me voir Mercredi après-midi,
»
Moi : « Et tu es allé la voir,
et pendant ce temps les copies sont restées en tas,
ta conversation avec Véro a été agréable,
»
AL : « Heu,
oui, cétait agréable,
enfin,
»
Moi : « Bon,
je suppose que vous navez pas fait que bavarder et que quelques câlineries se sont imposées,
dans un bureau fermé,
»
AL : « Bon,
arrêtes,
oui,
après ce qui cest passé le week-end dernier,
je me suis laissé faire,
et puis,
tu nas rien à dire,
»
AL : « Tu as raison ma chérie,
mais à quelle heure étiez vous ensembles,
»
AL : « Cest de linquisition,
Bon, je suis parti vers 3 heures, enfin environ,
»
Moi : « Cest quand même un belle garce,
»
AL : « Pourquoi tu dis ça,
nous étions toutes les deux, et consentantes
je ne comprends pas,
»
Moi : « Simplement après que vous vous soyez amusées toutes les deux, tu sais ce quelle a fait,
»
AL : « Ben non,
»
Moi : « Elle ma envoyé son chauffeur avec un mot me demandant de passer en fin daprès-midi, .
AL : « Tu veux dire, quelle ta demandé de venir au bureau,
après mon passage,
»
Moi : « Exact,
à peine arrivé, elle a été très claire,
»
AL : « Quet-ce que tu veux dire, ... »
Moi : « Elle ma dit jai besoin dun homme,
après sêtre tapée la femme elle sest fait sauter par le mari,
belle performance,
»
AL : « Tu parles dune garce,
et tu viens et tu commences à me faire des gentillesses,
tu ne manques pas dair,
non mais,
quand je pense que jallais me laisser faire,
»
Moi : « Arrêtes de jouer les vierges éplorées,
après ce qui cest passé dimanche,
je ne regrette rien,
et je te ferais remarquer, que tu navais pas de soutien-gorge et quen général,
cest comme une invitation à aller plus loin,
bon occupes toi de tes copies, je vais prendre une douche et nous reprendrons cette conversation,
»
Jallais prendre une bonne douche et celle-ci terminée, je passais seulement un short et je retournais dans la salle de séjour, où AL en avait fini de ses copies. Alors quelle les rangeait dans son cartable, je la faisais pivoter sur elle même et la prenais dans mes bras, la serrant fort contre moi, cest alors quelle dit : « Tu es quand même un beau salaud,
pendant que je me préparais pour toi,
tu baisais cette garce de Véro,
»
Moi : « Concours de circonstance,
Je suis arrivé au bon moment,
»
AL : « En rentrant, je me suis mise à corriger mes copies,
enfin à essayer de corriger des copies,
mais jétais excitée au possible,
et comme ta dit Véro,
je voulais un homme,
mon homme,
oui,
je voulais une queue,
jai eu envie de me calmer toute seule,
puis, jai pensé quune douche froide devrait mieux me calmer,
oui, un peu,
et puis je me suis, surtout, préparée pour toi à ton arrivée,
regardes,
» et elle ouvrit son corsage pour montrer ses beaux seins nus et défaisant la fermeture de sa jupe, la laissa tomber : « Tu vois,
je tattendais,
nue comme tu aimes,
pour que tu me prennes,
que tu me fasses lamour,
non,
que tu me baises,
je tattendais,
pour que tu me calmes,
dis moi que tu as envie de moi,
je veux voir si tu as envie de moi,
» et elle saccroupit descendant le short, et elle put constater que « popol » était en forme et prêt à servir : « Jaime quand tu es comme ça,
» et après deux ou trois caresses du bout des doigts elle me prit en bouche et commença à me pomper .
Gentiment je la poussais vers le sofa, dans lequel elle se laissa tomber, mais sachant parfaitement ce quelle voulait, ce quelle désirait, quand elle atterrit, ses cuisses étaient largement ouvertes, comme une invitation à aller moccuper de son minou, ce que je mempressais de faire. Me positionnant entre ses cuisses, je pus humer sa chaude odeur de femelle excitée, ouverte. Offerte ainsi il ne sagissait plus quà mexécuter et cest ce que je fis. Du bout de la langue je me mis à titiller ses grosses lèvres, non seulement elle écartait encore les cuisses, mais de plus elle poussait son bassin, sa chatte vers moi. Après avoir léché la raie de ses grosses lèvres du bout de la langue, deux doigts partir à lintérieur de cette jolie chatte et sans attendre je me mettais à la masturber, ça coulait et ça coulissé à plaisir : « Oui,
cest bon,
jattendais ça,
jaime quand tu me prends avec tes doigts,
oui,
cest bon,
oh,
arrêtes,
prends moi,
je veux que tu me prennes,
cest ta queue que je veux,
» et refermant ses cuisses, je dus me retirer de mon gouter. Enfin, AL se retournant sur le canapé présentant de fait son beau cul : « Viens,
arrêtes de jouer,
tu mexcites,
je te veux,
dans moi,
je sens ta place,
baises moi,
jattends ça,
baises ta femelle,
tu sais que je suis ta femelle,
cest ce que tu aimes,
» Vue la position il ny avait pus quà se diriger vers sa chatte, bien visible, mais je pensais quelle désirait autre chose et vue sa position je me décidais à prendre son joli cul
Alors que je positionnais sur son petit trou : « Je vais prendre ton joli cul,
il est tentant,
ouvres tes fesses,
que je vois ta jolie rosette,
»
AL les deux mains sur ses fesses pour les ouvrir : « Jai bien fait de me préparer,
je savais que tu me voudrais comme ça,
oui,
prends moi,
jaime ,
oui,
encules moi,
fais moi jouir,
» Bien positionnée, en forçant légèrement, sa rosette maccepta et jentrais dans son fondement que je mempressais de travailler, par des va et vient relativement rapides, alors que sa main droite avait trouvé le chemin de sa chatte et quelle se masturbait avec régularité et tout à coup elle se tendit, bandant son adorable cul : « Oui,
continues,
ne tarrêtes,
je vais jouir,
plus fort,
OOOOHHHHH,
OUIIIIII,
» et elle fut secouée dun gentil spasme qui lui fit abandonner sa chatte, mais je continuais mes va et vient, je sentais le plaisir dans mes reins qui montait, mais après la séance avec Véro, qui mavait bien vidé, je lenculais à grands coups de reins et il fallait que ça sorte, une véritable machine à baiser, qui ne sarrêterait que quand jaurai rempli son joli cul de mon plaisir quant à AL : « Quest-ce que tu fais,
tu es fou,
arrêtes,
je ne peux plus,
oh,
non,
non,
, non,
,
OH,
oui,
continues,
ne tarrêtes pas,
OOOOHHH,
OUIIIIII,
OUIIII,
» alors que cramponnais à ses hanches et bien enfoncé dans son cul je me vidais de mon plaisir et la remplissais de mon sperme, AL fut brutalement secouée par un puissant spasme, qui la fit se contracter et rouler sur le coté alors quelle méjecta de sa rosette.
Le temps quelle retrouve ses esprits, elle vint contre moi : « Embrasses moi,
tu es un monstre,
mais tu ma donné du plaisir,
cétait bon,
ça ma donné faim,
on mange et on se couche,
des fois,
»
« Ma chérie,
il ne faut pas rêver,
»
Se levant elle récupéra ses affaires et entrepris de remettre son corsage : « Non tu ne vas remettre ça,
restes comme tu es,
»
AL : « Fiche moi la paix,
il faut que je passe par la salle de bains,
ensuite, Je ne vais pas diner toute nue,
»
Moi : « Effectivement, tu ne peux pas diner toute nue,
je te suggère,
tu prends tes escarpins et tu mets des bas,
ça fait toujours plus habillé,
»
AL : « Jai bien dit, tu es un monstre,
tordu,
bon,
et chaque fois je cède,
»
Moi : « Cest bien tu es un amour,
jaime te voir quand tu mets tes bas,
cest excitant,
et avec tes escarpins,
quand tu marches,
ça balance bien tes jolies fesses,
»
AL : « Tu veux vraiment que je mette,
cest pas vrai,
bon,
bon,
je vais voir,
»
Moi : « Tu thabilleras ici,
jaime te voir,
avec ton corsage transparent,
en fin seulement le corsage,
tu seras merveilleuse,
»
AL en partant : « jobéis,
je suis folle,
» et elle disparut
Le temps de faire sas ablutions, javais préparé lapéritif, quand elle revint. En fait je lentendis revenir au claquement des talons de ses escarpins. Elle arriva dans la salle se séjour, son chemisier en voile noir, absolument transparent noué sous ses seins ce qui les poussait en avant, les jambes gainées de bas noirs et chaussées de ses escarpins. En entrant elle pris une pose provoquante, une main sur la hanche, puis elle se déplaça vers le fond de la pièce en balançant ses fesses, pour faire demi-tour et revenir vers moi, ses seins vivant leur propre vie, dune très belle façon. Elle sarrêta devant moi les jambes légèrement écartées, les seins bien visibles provoquants, les mains sur les hanches : « Wouah,
quelle démonstration,
formidable,
» et lattirant vers moi, elle sassit sur mes genoux, alors que je lentourais de mes bras elle me prit la tête et posa ses lèvres pour un baiser, chaud avec une langue gourmande, cest là que je lui dis : « Au fait,
Véro ma dit que B ne rentrait pas avant mardi,
»
AL : « Que veux tu que ça me fasse,
quil aille au diable,
»
Moi : « Mais,
je pensais,
»
AL : « Arrêtes de penser,
OK,
tu ma laissé faire,
cest fini, quil aille draguer ailleurs,
tout compte fait,
tu es gagnant, grâce à ma bêtise,
tu as récupéré Véro,
et cela ne te déplait pas,
alors samedi on fait comme la dernière fois,
»
Moi : « Non car elle a un diner boulot avec la société je ne sais quoi,
par contre elle viendra dimanche matin, à la plage,
»
AL : « Cest parfait,
embrasses moi avant diner,
»
Cest ce que lon fit et vue sa position sur mes genoux, je commençais à lui caresser les cuisses, dabord les bas puis un peu plus haut au dessus des bas, la où la peau est toujours très douce et je remontais un peu plus haut et jeu le très net sentiment que les cuisses sécartèrent me donnant accès à sa grotte damour, ce qui fut fait.
AL : « Non,
tu mas fatigué,
on va aller se coucher pour être en forme demain,
»
Après cette fin de non recevoir, nous sommes allés nous coucher bien gentiment. Fatigués, la nuit fut calme.
Le réveil à son habitude me réveilla à 5 heures et je sortais du lit doucement de façon à ne pas réveiller ma petite femme et comme à lhabitude, douche, rasage et préparation du café pour le petit dej. Le café prêt, comme à mon habitude, je lapportais à AL, ce qui lui permettait de se réveiller calmement et lui laissait le temps de se préparer pour ses cours. Enfin pratiquement réveillées, je filais aux chantiers. Le reste se passa rapidement et je neus à aucun moment la possibilité de filer voir Véro et le soir fatigués nous dinions et sagement au lit, un petit câlin et plouf endormis.
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